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Que Cache l’Optimisation d’un Site Web ?

Si vous possédez un site Internet, alors vous savez à quel point il est important que celui-ci soit optimisé pour attirer du trafic et générer des ventes (ou des leads) grâce à un bon taux de conversion.

Mais qu’entend-t’on réellement par l’optimisation d’un site web ?

Définition : L’optimisation d’un site web comprend toutes les pratiques techniques et marketing mises en oeuvre pour acquérir du trafic, engager les visiteurs puis les convertir en prospects ou en acheteurs à partir d’une méthode clairement définie qui répond à des objectifs fixés au préalable.

Au-delà de cette définition, il est difficile de distinguer les différents éléments qui constituent l’optimisation d’un site web – tant il y en a.

En réalité, le sujet est si vaste qu’il regroupe plusieurs métiers et compétences nécessaires pour pouvoir couvrir l’ensemble des actions et correctifs à mettre en place pour optimiser son site.

Du design au développement en passant par la vitesse d’affichage et le SEO, nous vous proposons de découvrir les bases de l’optimisation des sites internet grâce à une approche en 3 chapitres.

1. L’optimisation du référencement naturel (SEO)

Search Engine Optimization

Le SEO ou “référencement naturel” est une discipline du marketing digital qui comprend les sous-activités liées au positionnement d’un site internet sur des mots-clés ciblés au préalable sur le moteur de recherche de son choix.

En France, c’est sur Google qu’a lieu l’extrême majorité du SEO : Yahoo et ses concurrents n’ont jamais vraiment réussi à pénétrer le marché français.

Qui dit “Google” dit donc “algorithmes” : l’entreprise californienne qui règne en maître sur les recherches en ligne produit fréquemment des mises à jour de ses algorithmes qui déterminent les “lois” qui font qu’un site internet peut se référencer sur tel ou tel mot-clé.

Le référencement naturel, c’est donc pour votre entreprise sa capacité à se référencer sur Google de façon ciblée et précise : vous cherchez avant tout à vous positionner sur les mots-clés qui vous rapporteront des visiteurs utiles et qualifiés.

Si beaucoup de mythes et de croyances existent autour du SEO, sachez que l’époque de l’achat en masse de liens à faible autorité est révolue : Google pénalise désormais les sites internet qui possèdent des liens externes sans rapport avec leurs sites.

En 2018, le SEO se base sur 3 piliers fondamentaux qui vous permettent de vous référencer.

Le contenu de votre site

Le contenu de votre site est ce qui alimente votre référencement : il est la base même sur laquelle s’appuie Google pour “crawler” votre site et interroger votre contenu afin d’en afficher des résultats sur le moteur de recherche.

Bien au delà du simple remplissage, la création de contenus et de ressources de qualité vous permet d’engager vos visiteurs et de vendre vos produits et solutions : c’est avec le design, l’aspect le plus crucial de votre site.

Évidemment, le contenu de votre site peut se présenter sous plusieurs formes (écrites, visuelles et vidéo) et contiendra les mots-clés sur lesquelles vous souhaitez vous référencer.

Enfin, un contenu de qualité se prête forcément au partage : lorsque votre contenu est partagé, Google interprète cela comme un signal positif.

L’optimisation on-page

En SEO, l’optimisation on-page regroupe tous les aspects techniques nécessaires au référencement sur Google.

Pour aller à l’essentiel :

  • Votre balisage doit être cohérent et doit contenir vos mots-clés ciblés.
  • Votre site doit avoir une bonne vitesse de chargement.
  • Votre site doit être responsive.
  • Votre soit doit être sécurisé via le protocole HTTPS.
  • L’architecture de votre site doit être cohérente et organisée.

Les liens

Même si c’est de moins en moins le cas, les liens sont le carburant du SEO. De façon assez intuitive, Google interprète positivement le fait que plusieurs sites en lien avec votre activité “pointent” vers le vôtre avec un lien externe.

Lorsque vous partagez du contenu ou que vos utilisateurs partagent votre site, vous augmentez la probabilité qu’un site relaye une information ou parle de vous : vous créez donc naturellement des liens externes.

2. L’optimisation des performances techniques

Page speed optimization

Les performances techniques sont le moteur de votre site internet et conditionnent l’efficacité avec laquelle vos visiteurs vont pouvoir visiter et interagir avec votre site : elles sont donc un élément central de l’optimisation des sites web.

Complémentaire au SEO, l’optimisation technique conditionne également des facteurs de performance qui viendront influencer la capacité de votre site à se référencer sur Google.

Pour aller droit au but et vous faire gagner du temps, nous avons scindé cette partie en trois :

L’optimisation de la vitesse

La vitesse d’affichage d’un site est un des indicateurs de performances les plus cruciaux qui soient : on estime en effet que vous risquez de perdre du trafic à partir de 2.5-3 secondes de chargement et que le taux d’abandon grimpe en flèche à partir de 5 secondes.

Les facteurs de ralentissement d’un site web sont nombreux. Il existe cependant plusieurs (merveilleux) outils qui vous permettent d’obtenir un diagnostic rapide de la situation :

En améliorant la vitesse, vous diminuez l’abandon dû à la lenteur de chargement et contribuez également à améliorer votre SEO.

À titre d’exemple, la BBC a calculé qu’elle perdait 10% de son trafic par seconde supplémentaire lors du chargement de ses pages (voir l’étude).

L’affichage sur mobiles et tablettes

En 2018, 52% du trafic mondial est généré par les mobiles avec lesquels la navigation sur Internet s’est fortement améliorée au cours des 5 dernières années.

Pour certains secteurs (dont le shopping !) la part du trafic mobile peut être encore plus élevée et atteindre 70-80% pour certains sites.

Avec une telle utilisation des smartphones sur Internet, il est donc impératif que votre site internet soit optimisé (on parle de “responsive”) pour l’affichage sur mobiles et tablettes.

Si vous créez des landing pages, sachez qu’il existe plusieurs outils de création de landing page qui proposent des templates 100% responsive : un bon moyen de gagner du temps lors de la création de ses pages.

Faire en sorte que son site soit “responsive”, c’est donc créer sa page de façon à ce que le contenu affiché s’adapte à la taille de la fenêtre d’affichage utilisée par le visiteur.

Pour plus d’informations, vous pouvez consulter le guide Google dédié à la création de pages web adaptatives.

Les erreurs de pages et l’hébergement

Les erreurs de chargement : tout le monde connaît. Elles prennent la forme d’un protocole HTTP de type 4XX ou 5XX dont les plus courantes sont :

  • 404 (not found)
  • 403 (forbidden)
  • 401 (unauthorized)
  • 400 (bad request)
  • 500 (internal server error)

Le problème des erreurs de page, c’est qu’elles signent souvent la fin de la visite pour les visiteurs qui tombent sur elles.

À l’aide d’un crawler, vous pourrez cependant identifier les erreurs des pages de votre site afin de les rediriger vers des ressources utiles. Pour cela, des outils comme Screaming Frog ou Botify peuvent vous aider.

Lorsque les problèmes de performances ne viennent pas de votre site, ils peuvent venir de votre hébergement : c’est à dire de l’organisme qui héberge les données de votre site qui sont chargées par un internaute lorsqu’il visite votre site.

Pour résoudre ce problème, il existe 2 solutions :

  • Changer d’abonnement (dans le cas où votre trafic dépasse les capacités comprises dans votre abonnement).
  • Changer de solution d’hébergement (dans le cas où vous êtes hébergés par une solution low-cost défaillante).

3. L’optimisation de la conversion et de l’expérience utilisateur

Conversion Rate and UX Optimization

L’optimisation des taux de conversion regroupe toutes les actions mises en place pour offrir une meilleure expérience de navigation et d’interaction entre vos visiteurs et votre site : c’est un aspect crucial pour tous les sites marchands.

En offrant une meilleure expérience d’utilisation, vous augmentez aussi naturellement le taux de conversion de votre site : les utilisateurs sont plus vite rassurés et comprennent mieux votre valeur-ajoutée.

En plus d’améliorer votre taux de conversion, une bonne expérience utilisateur (UX) augmente également votre taux de rétention et la fidélité de vos clients : vos utilisateurs sont plus susceptibles de revenir pour effectuer d’autres achats.

Pour améliorer votre expérience utilisateur, il faut commencer par identifier les problèmes en analysant vos données.

Pour cela, des outils comme Google Analytics vous permettront d’obtenir des informations cruciales sur :

  • Le type d’utilisateurs (par âge, géographie, sexe…)
  • Le taux de rebond
  • Le taux de conversion
  • L’abandon du panier

Il existe évidemment de nombreuses autres données à exploiter pour comprendre l’intégralité des mécanismes d’expérience utilisateur qui ont lieu sur votre site, mais ces 4 premiers vous aideront déjà à cibler les problèmes les plus importants.

Pour aller plus loin, utilisez ensuite une solution d’analyse de données plus poussée comme celle d’AB Tasty. Avec notre solution, vous allez pouvoir suivre le comportement de vos utilisateurs et comprendre leurs interactions grâce aux fonctionnalités suivantes :

User Session Recording. Capturez les sessions de vos visiteurs et visualisez après coup leurs interactions sur votre site pour mieux comprendre leur comportement.

Heatmap et zones de chaleur. Visualisez de façon claire l’interaction de vos visiteurs grâce à des cartes de chaleur : vous savez où vos visiteurs cliquent et où se situent les blocages.

Enquête et feedback utilisateur. Gagnez du temps et demandez vous-même aux utilisateurs ce qui pourrait être amélioré sur votre site !

Segmentation de vos visiteurs. Tous vos clients ne sont pas les mêmes : segmentez le trafic de votre site pour créer des profils types auxquels vous pourrez proposer du contenu et des offres exclusives.

Tests A/B avancés. Utilisez l’A/B testing pour éprouver vos théories : améliorez vos pages et comparez-les aux versions précédentes pour trouver la formule qui fonctionne le mieux.

Lorsque qu’on cherche à optimiser son site, il est courant de ne s’attarder que sur un seul type d’optimisation (SEO ou UX par exemple) : c’est une erreur courante qui ne vous permet pas de réellement augmenter votre chiffre d’affaires.

En marketing digital, on considère que les 3 types d’optimisation (SEO, technique et UX) fonctionnent ensemble : il est inutile d’acquérir du trafic s’il est pas qualifié et si votre site ne permet pas de les convertir. À l’inverse, un site techniquement optimisé ne vous sera que peu utile s’il ne parvient pas à attirer du trafic qualifié.

Cet article vous a plu ? Découvrez nos solutions d’a/b testing et de personnalisation et décuplez rapidement le potentiel de votre site.

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Call-to-action, comment donner envie de cliquer ?

Qu’est-ce qu’un call-to-action ?

On connaît « tous » le call-to-action ou bouton d’action. D’ailleurs si vous lisez cet article, c’est que vous avez dû vous-même cliquer sur des centaines, des milliers de call-to-action au cours de vos nombreuses journées passées sur Internet. Vos inscriptions sur LinkedIn, Facebook, WordPress, Dropbox ?

Probablement toutes le résultat d’un call-to-action efficace qui vous a fait cliquer, vous inscrire, lire, acheter : autant d’actions que l’on peut activer grâce à un CTA efficace.

Malgré cette familiarité avec le concept, peu d’entre nous comprennent en fait vraiment le fonctionnement et la psychologie derrière ce fameux CTA.

Qu’est-ce qui fait un bon call-to-action ? Pourquoi cliquons-nous ?  Pourquoi autant de différence entre deux mots ?

Nous ne comprenons pas pourquoi nous cliquons pour une raison simple :

Le call-to-action ne se résume pas à un bouton, une bannière ou une image. C’est l’ensemble de la psychologie et du storytelling qui l’accompagnent qui le rendent irrésistible.

Réfléchissons-y deux minutes : cliquez-vous souvent sur un « pop-up » d’une marque dont vous n’avez jamais entendu parler ? La réponse est non : vous cherchez à fermer cette fenêtre intempestive au plus vite.

Ce n’est pas la bonne combinaison de trois mots qui fait que vos visiteurs cliquent.

Vos visiteurs cliquent sur ce bouton en réponse à trois éléments qui se combinent :

  • Ce que vos visiteurs ont appris de vous (passé)
  • Ce que vos visiteurs ressentent en navigant (présent)
  • Ce que vos visiteurs attendent après leur clic (futur)

Call-to-action Dropbox

Ici sur le site de Dropbox :

  • Je sais que de nombreux collègues l’utilisent et j’ai vu leurs publicités à plusieurs reprises. (Passé)
  • J’apprécie le design épuré et la proposition de valeur : stocker mes données dans le cloud pour libérer mon temps, mon stockage et mon esprit. (Présent)
  • En cliquant, je m’aperçois que le compte « Basic » est gratuit : je m’inscris ! (Futur)

Si vous lisez toujours, vous vous demandez maintenant comment vous – qui ne dirigez pas Dropbox – pouvez bien rédiger et mettre en place des call-to-action qui convertissent.

Ça tombe bien, on en parle maintenant.

Comment créer un call-to-action efficace ?

Comme nous le disions, un call-to-action n’est pas un bouton isolé, amené sans introduction aux yeux de vos visiteurs. Un bon call-to-action doit être vu comme un aboutissement. Il doit être imaginé dans l’idée d’un « passage » à l’acte après une première introduction – voire une campagne complète.

Il peut s’agir de :

  • Demander l’e-mail après la lecture d’un article.
  • Proposer un audit à la suite d’une vidéo explicative.
  • Suggérer l’achat après la vue d’une page produit.
  • Offrir un essai gratuit après la visite d’une page.

En réalité, la qualité d’un call-to-action est intiment liée à la pertinence de votre tunnel d’achat : d’où viennent mes visiteurs ? Comment leur parler ? Par quelles étapes passent-ils avant l’action désirée ?

Et si à ce stade vous êtes totalement perdus, nous vous recommandons vivement notre Guide de Survie du Tunnel de Conversion.

Pour créer un CTA efficace, il existe cependant des bonnes pratiques et astuces qui augmenteront à coup sûr votre conversion.

  • Le visuel. Indispensable, le visuel doit être attractif. Il faut également éviter les images trop commerciales et privilégier des visuels plus personnels et originaux voire le format vidéo qui amène un CTR plus élevé.
  • Les mots. Restez bref. Un message aux alentours de 5 mots est idéal. Il faut que la proposition de valeur soit brève, concise et convaincante. Adaptez évidemment le message à ce que recherche votre audience.
  • L’action. Utiliser des verbes d’action et créer un sentiment d’urgence sont deux techniques répandues qui permettent d’augmenter la conversion. En soulignant le caractère temporaire ou exceptionnel d’une offre, vous augmentez la pression sur votre audience.
  • L’emplacement. L’emplacement de votre CTA doit être naturel. Il doit donc découler de façon intuitive du reste de la page et être amené de façon spontanée. Il faut donc éviter de placer votre CTA dans des endroits irrationnels qui ne seraient pas visibles.
  • Les couleurs. Pour générer un maximum d’impact, il est conseillé de créer un CTA de couleur différente du reste de la page. Cela étant dit, il faut également veiller à rester dans l’harmonie du thème de couleurs du site.
  • La taille. Il doit être assez visible pour ne pas passer inaperçu (n’aillez donc pas honte de l’afficher !) mais pas trop grand afin de ne pas distraire du contenu principal de la page : vos visiteurs sont également là pour se renseigner, il ne faut donc pas gêner la navigation et la lecture.
  • La compréhension. Votre proposition de valeur doit être claire et facile à comprendre. Explicitez exactement les bénéfices qu’obtiendront les visiteurs s’ils cliquent sur ce lien.

5 exemples de call-to-action efficaces

Parce qu’une image vaut bien quelques bons mots, nous vous suggérons de prêter attention à ces 5 exemples de ce nous estimons être de « bons call-to-action ».

Squarespace

Si Squarespace réussit bien quelque part sur sa Page d’Accueil, c’est bien à retranscrire l’idée de simplicité. Le design est soigné et la proposition de valeur est claire « Make your own website ».

La meilleure partie ? Le CTA en bouton noir : il résonne avec le thème et sort du lot : il capte notre attention en un instant. La touche magique : « No credit card required » qui accompagne le bouton : on sait en un instant que nous ne serons pas obligés de payer.

Call-to-action Squarespace

Adexpresso

Plusieurs choses frappent sur la page d’accueil d’AdExpresso. La proposition de valeur est limpide : « optimiser ses publicités Facebook aussi facilement que faire un café ».

Mieux, le thème couleurs du site reprend inconsciemment celui Facebook, qui se trouve être la plateforme pour laquelle ils apportent une expertise.

Enfin, le CTA en bouton vert détonne et attire l’attention immédiatement : il rassure également avec son « No Credit Card Required ! » intégré.

Call-to-action Adexpresso

Linkedin

Sur LinkedIn, la page d’accueil provoque directement l’apparition d’un formulaire dont le choix des mots est intéressant.

La première phrase « Distinguez-vous professionnellement » crée un sens de l’urgence : LinkedIn propose un service qui permet de me distinguer, je rate donc quelque chose si je ne m’y inscris pas.

La deuxième phrase « Lancez-vous, c’est gratuit » incite à l’action : c’est gratuit, qu’est-ce que je risque ? Le formulaire est volontairement court de façon à ne pas décourager.

Enfin, en bas se trouve la fonctionnalité « Trouver un collègue » : cela permet d’apporter une « preuve sociale » de la valeur ajoutée de LinkedIn, personnalisée selon la personne qui utilise la recherche.

Call-to-action Linkedin

Kickstarter

Pour le site de crowdfunding Kickstarter, les réseaux sociaux sont un canal d’acquisition primordial. Sur cette publicité Facebook, plusieurs éléments rendent le call-to-action puissant.

Premièrement, le choix des mots est en synergie avec la tag-line. « C’est le projet de montre le plus financé sur Kickstarter maintenant » résonne avec « Pas étonnant que tout le monde adore cette montre sur Kickstarter ! ».

Enfin, le visuel choisi est très attirant et l’ensemble crée un sentiment de forte curiosité : on a juste envie de cliquer.

Call-to-action Kickstarter

Udemy

Quand on découvre le site de Udemy, une tag-line interpelle directement notre attention : « Surpassez-vous ». La suite nous permet de découvrir rapidement la proposition de valeur « Obtenez des compétences en business, technologie… ».

Ce qui est intéressant dans ce cas, c’est que le call-to-action est proposé sous la forme d’une question : « Que souhaitez-vous apprendre ? ».

Cela permet d’obtenir un CTA débarrassé de l’approche commerciale traditionnelle type « Inscrivez-vous ». Enfin, on remarque deux choses intéressantes :

  1. L’offre à durée limitée en haut de la page qui crée un sentiment d’urgence.
  2. Des éléments réassurant en bas de la page qui terminent de nous convaincre qu’un coup d’œil vaut bien le coup.

Call-to-action Udemy

Optimiser ses call-to action grâce à l’A/B testing

Après ces quelques exemples de call-to-action plus que convaincants, gardez à l’esprit quelque chose : il n’existe pas de formule magique qui fonctionne pour tout le monde.

C’est vrai, ces entreprises ont trouvé de belles formules pour mettre en avant leur valeur ajoutée. Mais ces entreprises ont également construit des tunnels d’achat cohérents et une communauté sur laquelle s’appuyer.

Bon, on vous a menti. Il existe bien une formule magique pour faire convertir ses CTA.

Tester, tester et tester encore.

En réalité, derrière chaque campagne à succès, chaque call-to-action efficace, se cachent des dizaines voire des centaines d’essais. C’est ce que l’on appelle : l’A/B Testing.

Pour un guide complet de cette discipline : téléchargez notre livre blanc de l’A/B testing !

L’idée derrière le fait d’A/B tester ses CTA, c’est d’expérimenter chaque formule jusqu’à trouver la formule magique pour votre site internet ou votre produit.

Regardez plutôt les différences de conversion entre ces différents choix de mots :

Call to Action : Different Conversion Rates

L’idée avec l’A/B testing, c’est d’expérimenter des propositions de CTA différentes en jouant sur les différents leviers que vous avez à votre disposition :

  • Les couleurs.
  • Les mots.
  • L’emplacement.
  • Le format.
  • La taille.

Et vous, quels résultats obtenez-vous avec vos call-to-action ?